"j'ai toujours laissé mes ailiers remporter des victoires pour qu'ils prennent confiance en eux; sans çà j'en aurais ramené beaucoup plus moi-même". (Werner MOLDERS)


"Un pilote est un individualiste, rien n'est plus important que de le faire rentrer dans un dispositif". (Werner.Mölders)


" Un avion c'est une cible, deux avions c'est une arme " (Werner.Mölders)

"La reconnaissance est l'oeil, la chasse le bouclier et le bombardement l'épée d'une armée aérienne" (René PANEBOEUF, pilote de Potez 631 Reconnaissance durant la campagne de France, abbatu le 24/05/1940 à Abbeville (SOMME))

Allons-y: "ce dont je suis le plus fier, c'est de ne jamais avoir perdu un ailier"
C'est de qui çà??

HARTMANN le Grand !

Trop facile, Tanzer...
Celle là : "Laissez le moi, ça va être du gateau..."

Closterman! peace of cake!!

Ouep avant que le D-9 lui fasse une barrique autour et l'envoie dans le fossé

De John B. England, pilote de P51 (donc formé au B&Z). Trouvé dans "P51 vs Fw190" par Martin Bowman.
Vous allez avoir une impression de quelque chose de déjà entendu quelque part

"Un pilote déclenchant une attaque doit avoir l'avantage en vitesse ou en altitude, puisque l'une peut facilement être convertie en l'autre. [...] La meilleure manoeuvre défensive contre un avion allemand est le virage serré. J'ai vu les pilotes qui tentent de s'échapper en piqué, ou de faire des manoeuvres fantaisistes, se faire descendre."

"Altitude, vitesse, manœuvre, tir!" (Alexander POKRYCHKINE)

"D'abord les avions, les filles après"

Major Bulochkin, Kapitan Kaisarov, St. Leitenant Tucha

La doctrine d'Erich Hartmann:

"The secret of his success lay in a simple, yet highly effective, four-part formula which he had evolved early in hiscareer. He summed it up as 'See— Decide -Attack - Depart'.What he meant by this was gain the advantage of height, awaitthe opportune moment, make one decisive pass at close rangeand then break off.

Hartmann described his formula in thefollowing terms;'My only tactic was to wait until I had the chance to attack my opponent and then close in at high speed. I opened fire only when the enemy machine filled the entire windscreen. Then, not a single shot missed its mark. The enemy absorbed the full weight of your armament at minimum range and nearly always wentdown. But whether he did or not, you didn't hang around. If I had only crippled or disabled my opponent I would break off the attack and repeat the process from the beginning.'To summarise, I would say that in close there is no guesswork.Fly in at full speed, get near enough and you will score. I always began my attacks with the advantage of height if possible. My ideal altitude was 22,000 ft (6700 m). At that height I could bestutilise the performance of my aircraft.'In combat, flying fancy, precision aerobatics are not really of much use. It's the rough manoeuvre which succeeds, throwingthe aircraft about violently."

En résumé: "grimpe plus haut que l'adversaire, fonce dessus, tire, et barre-toi". Finalement rien de nouveau par rapport à la tactique de Boelcke...ce qui fait un as, c'est le self-control pour ne jamais déroger à ces règles.

je suis l'avion, je vise, je tire et puis, bien entendu il tombe !!!

qui est ce ??

moi au passage bravo pour ta promo admin au vert

qui a dit ? indice : un gradé du KWM

" Maintenant les filles, les zinc's attendront "

De toutes façons le résultat est le même, ils tombent "