Escadrille virtuelle Kommando Werner MOLDERS
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KWM Escadrille sur IL2. Du biplan au chasseur à réaction, l'aventure unique des pilotes de la Luftwaffe de 1936 à 1945. Escadrille Virtuelle il2 Kommando Werner Mölders de la luftwaffe est un groupe de pilotes virtuels passionnés par l'aviation.
 
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 la revanche du faux sein tueur

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Bulldozer
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Bulldozer

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MessageSujet: la revanche du faux sein tueur   la revanche du faux sein tueur Icon_minipostedDim 6 Déc - 21:11

un petit coucou vite fait du bull...
ames sensibles s abstenir,et dedicace a psyduck!

http://stayhonest.com/work/branded_video_film/boob/
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Lady
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Lady

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MessageSujet: Re: la revanche du faux sein tueur   la revanche du faux sein tueur Icon_minipostedDim 6 Déc - 21:39

moi qui voulait me faire mettre des implants.... je vais réfléchir... Laughing
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http://kwmolders.free.fr/index.php
KWM_psyduck
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KWM_psyduck

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MessageSujet: Re: la revanche du faux sein tueur   la revanche du faux sein tueur Icon_minipostedDim 6 Déc - 22:20

hoooo, mais j'ai trouvé pire:

lol!

http://www.nanarland.com/Chroniques/Main.php?id_film=supernichoncontremafia

http://video.google.ru/videoplay?docid=393660853970290500&ei=uyscS4D8D9ev-AafkMSYCQ&hl=fr



Citation :
Double Agent 73

http://www.cineprofil.com/film-9823-double_agent_73



Un film qui marque par son manque de contenu. Il s'agit d'une façon peu astucieuse de nous montrer pendant plus d'une heure la poitrine plutot genereuse de chesty morgan. Et lorsque je dis genereuse, il serait plus juste de dire monstrueuse. Le scénario est invraisemblable et le montage est aussi lamentable que les débuts ( et la fin à bien y penser) de MusiquePlus. Il est impensable d'écouter ce film en restant froid face à des scènes plus navrantes les unes que les autres. Un jeu vide de sens pour tous les acteurs, des interventions inutiles de certains personnages. Ce film est tout simplement infect et insipide!

Chesty Morgan est décidément un objet rare et inquiétant du cinéma amateur des années 70. Avec son tour de poitrine de 73 pouces, d’où le titre du film, il est difficile de ne pas être horrifié devant les déplacements maladroits de cette « femme » au regard perdu de junkie sous LSD et à la démarche de mort-vivante à moitié endormie. Pour ce qui est de la pseudo histoire d’espionnage, malgré son vide est sa simplicité apparente elle est incompréhensible et pour le moins invraisemblable : Chesty se faisant implanter un appareil photo dans son énorme sein gauche pour capturer de manière très subtile des informations top secrètes…bien sûr! Le tout est exécrablement filmé et monté. On a même droit à des séquences de films d’archives pour les scènes trop dispendieuses à filmer (paysages exotiques, foule à l’hippodrome, coup de feu…) Vraiment lamentable! Même la voix de Chesty est - mauvaisement - doublée tellement son accent polonais rend ses phrases indéchiffrables. Pourtant, la seule chose qu’on ne peut reproché au film est de ne pas nous faire rire…Au moins!




Citation :

http://www.nanarland.com/Chroniques/Main.php?id_film=supernichoncontremafia

Chesty Morgan interprète le rôle de Jane, agent secret au service du gouvernement des Etats-Unis. Chargée d’infiltrer un dangereux gang de trafiquants de drogue afin de le démanteler, notre amie se voit dotée d’un gadget aussi surprenant que paradoxal : un appareil photo implanté dans le sein. Pour prendre une photo avec son téton, elle n’a qu’à soulever légèrement sa mamelle.

A quoi cela lui sert-il exactement ? On verra essentiellement notre héroïne prendre des photos de gangsters qu’elle vient d’assommer d’un coup de sein. Ca justifie l’exhibition de ses nibards et l’on comprend vaguement qu’il s’agit d’identifier après coup le chef de l’organisation, dont nul ne connaît l’identité réelle. C’est très mal expliqué, et ça ne fait pas du tout avancer l’histoire.

Car « Super Nichon contre mafia » est sans doute l’un des polars les plus minables jamais tournés. Au niveau en-dessous, c’est bien simple, c’est du Eurociné. Le coup de l’appareil photo implanté dans le sein qui ne sert à rien n’est que l’aspect le plus voyant d’un film sans queue ni tête ni logique. On se croirait parfois dans un vidéo-clip qui parodierait les pires séries B de l’histoire. La réalisation de « Super nichon contre mafia » s’apparente à celle d’un film expérimental post-godardien. Plans aléatoires et très longs sur des objets inutiles à l’action, remplissage à gogo, cadrages hasardeux. C’est la totale à tous les niveaux : action molle, bastons mal chorégraphiées, scénario sans queue ni tête, acteurs n’essayant même pas de jouer : on a l’impression de se trouver devant un brouillon de film cadré par un débile mental et joué par des comédiens amateurs. Le côté « second degré » assumé du film n’excuse absolument rien : à ce niveau-là, c’est du jemenfoutisme.

Surtout, le film se distingue par une esthétique si ignoblement marquée par les années 1970 qu’elle finit par en vriller les yeux : cols pelles à tarte, foulards mauves criards, papiers peints à fleurs, rideaux à motifs inextricables. On est en pleine agression visuelle, à croire que l’on se trouve devant un film de seventiesploitation destiné à des pervers incurables.

Supernichon contre mafia » est l’occasion de voir en action « la plus grosse poitrine du monde » : en tout cas, sans aucun doute, la plus grosse poitrine à avoir jamais tenu un rôle principal dans un film. C'est en effet la paire de seins qui tient la vedette car on ne peut pas dire que la brave Chesty Morgan, elle, joue vraiment dans le film. Inexpressive au possible, l’air soumis d’un bovin sous neuroleptiques emmené à l’abattoir, la brave Chesty réussit là l’exploit d’être encore plus mauvaise que Florence Cayrol dans « Lorna la Lionne du Désert ». Dotée d’un accent polonais à couper au couteau, Chesty était doublée dans la VO : pour faciliter la post-synchro, la caméra cadre le moins possible son visage quand elle est censée parler.

Quant à ses seins, parlons-en. 220 centimètres de tour de poitrine, ma bonne dame, qu’est-ce que vous dites de ça ? Et que du naturel, c’est pas comme les pouffiasses nourries au silicone et élevées en batterie qu’on nous sert aujourd’hui, ma bonne dame ! Oui, mais… une poitrine pareille, c’est tout simplement trop gros pour tenir sur un torse normal. Les seins de Chesty Morgan, quand ils ne sont pas contenus à grand-peine par son soutien-gorge, pendent lamentablement comme de vieilles éponges géantes, ou, quand elle est couchée, s’étalent des deux côtés de son buste comme un fleuve de boue dégoulinant. C’est tout simplement effroyable : on dirait que notre héroïne s’est fait greffer les seins d’une femme obèse de 200 kilos.

Pour couronner le tout, ajoutons que le film est à voir si possible en VF : doublé par une escouade de comédiens payés en packs de bière, « Super nichon contre mafia » se retrouve avec une VF tenant davantage de la cacophonie auditive que de la post-synchronisation honnête. Aux voix criardes aux intonations excessives s’ajoutent des dialogues débiles contenant toutes les références humainement envisageables aux nibards de l’héroïne : « Salut, alors comment vont les nichons ? » (réplique du chef du FBI, recevant Chesty dans son bureau) ; « J’ai plus d’un tour dans mes roberts ! ». Le dialogue français compte aussi des répliques ultra-vulgaires comme « Attends, j'vais me laver le cul ! Tiens-là bien droite, j's'rai pas longue, mon lapin ! » (dit par une fille à son ami juste avant de faire l'amour) apparemment rajoutées, voire improvisées par les doubleurs. A se taper la tête contre les murs.



D’une débilité fièrement assumée, « Super nichon contre mafia » est un magnifique témoignage de l’époque où les films de sexploitation ne s’encombraient que d’un prétexte minimal pour attirer le chaland. L’audace du temps étant passée, il ne reste que la pure fascination devant la monstruosité de l’actrice principale et la médiocrité hallucinante du reste du métrage. Spectaculaire de non-érotisme, le film est assuré de laisser le spectateur dans un état proche de la stupéfaction. A voir avec la même curiosité morbide qu’un veau à cinq pattes ou un numéro de « France-Dimanche » ! Une certaine résistance à la série Z seventies est tout de même recommandée. Quant à Chesty Morgan, elle prit sa retraite du showbiz après avoir épousé un arbitre de base-ball américain. On ignore si elle s’est fait réduire la poitrine ou si elle a aujourd’hui mal au dos.
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Bulldozer
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Bulldozer

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MessageSujet: Re: la revanche du faux sein tueur   la revanche du faux sein tueur Icon_minipostedLun 7 Déc - 12:22

"hoooo, mais j'ai trouvé pire:"

je n en doutais pas moins de toi...Smile
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Bulldozer
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Bulldozer

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MessageSujet: Re: la revanche du faux sein tueur   la revanche du faux sein tueur Icon_minipostedLun 7 Déc - 22:00

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